L’un des plus beaux palais d’europe
C’est près de Saint-Pétersbourg que se trouve l’un des plus beaux palais baroques d’Europe : le Palais Catherine.
Construite en 1718 par Catherine I comme palais d’été, la modeste construction se transforme sous la régence d’Élisabeth I en une toute nouvelle résidence : le palais est agrandi et richement décoré à la feuille d’or à l’intérieur comme à l’extérieur. Il renferme depuis également d’autres trésors, tels que la célèbre Chambre d’Ambre, considérée comme la « huitième merveille du monde ».
Le palais devient, par la suite, la résidence préférée de Catherine la Grande. Dès 1763, elle y passe tous ses printemps et ses étés. Elle fait rénover de nombreuses parties de l’immense bâtisse et y ancre de manière spectaculaire l’esprit de son époque et de son Grand Empire.
Construite en 1718 par Catherine I comme palais d’été, la modeste construction se transforme sous la régence d’Élisabeth I en une toute nouvelle résidence : le palais est agrandi et richement décoré à la feuille d’or à l’intérieur comme à l’extérieur. Il renferme depuis également d’autres trésors, tels que la célèbre Chambre d’Ambre, considérée comme la « huitième merveille du monde ».
Le palais devient, par la suite, la résidence préférée de Catherine la Grande. Dès 1763, elle y passe tous ses printemps et ses étés. Elle fait rénover de nombreuses parties de l’immense bâtisse et y ancre de manière spectaculaire l’esprit de son époque et de son Grand Empire.
Une philosophe sur le trône
Catherine II est l’unique souveraine qui a hérité du surnom « la Grande ».
La monarque très active a renforcé l’économie de son pays et en a réformé l’administration. Elle inspire la joie de vivre et est très appréciée, elle aime jouer de la musique et entretient une relation épistolaire avec Voltaire, penseur influent des Lumières. Catherine II promeut activement la culture et favorise le développement des idées européennes modernes dans son royaume.
Dans un manifeste, elle invite les populations d’Europe de l’Ouest à émigrer en Russie pour découvrir ses rivières et ses lacs ainsi que ses « nombreux minerais et métaux précieux ». Dès 1765, une expédition ordonnée par la tsarine a pour but de découvrir de nouveaux gisements de jaspe, d’agate et de cornaline dans l’Oural. Quelques années plus tard, Catherine la Grande érige un monument unique en l’honneur des richesses naturelles de son royaume.
La monarque très active a renforcé l’économie de son pays et en a réformé l’administration. Elle inspire la joie de vivre et est très appréciée, elle aime jouer de la musique et entretient une relation épistolaire avec Voltaire, penseur influent des Lumières. Catherine II promeut activement la culture et favorise le développement des idées européennes modernes dans son royaume.
Dans un manifeste, elle invite les populations d’Europe de l’Ouest à émigrer en Russie pour découvrir ses rivières et ses lacs ainsi que ses « nombreux minerais et métaux précieux ». Dès 1765, une expédition ordonnée par la tsarine a pour but de découvrir de nouveaux gisements de jaspe, d’agate et de cornaline dans l’Oural. Quelques années plus tard, Catherine la Grande érige un monument unique en l’honneur des richesses naturelles de son royaume.
L’heure de gloire d’un architecte
En 1779, Catherine la Grande invite à sa cour un architecte écossais qui jouit alors d’une grande réputation en Europe :
Charles Cameron s’était rendu à Rome en 1768 afin d’effectuer, avec l’autorisation du pape, des fouilles et des métrés dans les ruines des thermes impériaux.
Les recherches de Cameron étaient tout particulièrement appréciées par ses contemporains et ont fait sa réputation d’expert en architecture antique. Il a toutefois connu son heure de gloire quand l’impératrice russe lui a donné l’opportunité de réunir sa passion pour l’antiquité gréco-romaine avec un autre des thèmes favoris de la haute noblesse : l’univers des minéraux. C’est ainsi que sont nés les Salons d’Agate prestigieux du Palais Catherine.
Charles Cameron s’était rendu à Rome en 1768 afin d’effectuer, avec l’autorisation du pape, des fouilles et des métrés dans les ruines des thermes impériaux.
Les recherches de Cameron étaient tout particulièrement appréciées par ses contemporains et ont fait sa réputation d’expert en architecture antique. Il a toutefois connu son heure de gloire quand l’impératrice russe lui a donné l’opportunité de réunir sa passion pour l’antiquité gréco-romaine avec un autre des thèmes favoris de la haute noblesse : l’univers des minéraux. C’est ainsi que sont nés les Salons d’Agate prestigieux du Palais Catherine.
Un chef d’oeuvre pour sa majesté
Catherine la Grande souhaitait des bains inspirés du style romain. C’est dans les années 1780, qu’elle reçoit, de la part de Cameron, une ébauche époustouflante.
Cette ébauche comprend, entre autres, sept pièces particulièrement luxueuses situées à l’étage des thermes. Sur demande de l’impératrice, les murs ont été recouverts de carreaux de jaspe de l’Oural, poli et travaillé avec raffinement. C’est de cette pierre précieuse, autrefois appelée agate, que les pièces tirent leur nom : les Salons d’Agate.
Utiliser cette pierre précieuse en aussi grande quantité et sur une surface aussi importante représentait un défi unique pour les artisans car, contrairement au marbre, les minéraux précieux sont très difficiles et pénibles à travailler. Le défi a toutefois été
Cette ébauche comprend, entre autres, sept pièces particulièrement luxueuses situées à l’étage des thermes. Sur demande de l’impératrice, les murs ont été recouverts de carreaux de jaspe de l’Oural, poli et travaillé avec raffinement. C’est de cette pierre précieuse, autrefois appelée agate, que les pièces tirent leur nom : les Salons d’Agate.
Utiliser cette pierre précieuse en aussi grande quantité et sur une surface aussi importante représentait un défi unique pour les artisans car, contrairement au marbre, les minéraux précieux sont très difficiles et pénibles à travailler. Le défi a toutefois été
Les piliers de l’histoire
Créée en l’honneur des Salons d’Agate, l’édition « Palais Catherine » du Stylo de l’Année ravive d’une manière fascinante la splendeur et l’esthétique d’une grande époque.
Sur la gaine platinée du stylo-plume, on retrouve trois larges pierres de jaspe rouge qui rappellent parfaitement l’aura de ces pièces somptueuses. Plusieurs processus de polissage ont permis aux pierres précieuses veinées de gagner une brillance inimitable.
En outre, un motif chaîne est gravé sur la gaine, rappelant un des éléments de style principaux des Salons d’Agate. Le capuchon du stylo-plume est orné d’un quartz russe gris scintillant à facettes.
Sur la gaine platinée du stylo-plume, on retrouve trois larges pierres de jaspe rouge qui rappellent parfaitement l’aura de ces pièces somptueuses. Plusieurs processus de polissage ont permis aux pierres précieuses veinées de gagner une brillance inimitable.
En outre, un motif chaîne est gravé sur la gaine, rappelant un des éléments de style principaux des Salons d’Agate. Le capuchon du stylo-plume est orné d’un quartz russe gris scintillant à facettes.
La splendeur d’une époque
L’édition spéciale de luxe « Palais Catherine » du Stylo de l’Année associe une dorure 24 carats à un travail sur les pierres précieuses d’un raffinement unique.
La gaine est décorée de six superbes pierres de jaspe : elles sont entourées de rosettes en or 24 carats à l’exécution parfaite, placées à la main sur des plaquettes de couleur noire foncée.
Deux pierres de quartz russes jaunes à facettes couronnent le capuchon et l’embout du stylo-plume. Les deux éditions sont dotées d’une plume en or bicolore 18 carats testée à la main. Un embout protège le bouton rotatif du mécanisme à piston du stylo-plume.
La gaine est décorée de six superbes pierres de jaspe : elles sont entourées de rosettes en or 24 carats à l’exécution parfaite, placées à la main sur des plaquettes de couleur noire foncée.
Deux pierres de quartz russes jaunes à facettes couronnent le capuchon et l’embout du stylo-plume. Les deux éditions sont dotées d’une plume en or bicolore 18 carats testée à la main. Un embout protège le bouton rotatif du mécanisme à piston du stylo-plume.
Fabriqué de main de maître
La création « Palais Catherine » du Stylo de l’Année présente des exigences très élevées en matière de fabrication.
Qui aurait pu répondre à ces exigences mieux que l’atelier d’ambre du Palais Catherine ? Au sein de cet atelier, des artisans d’art issus de différentes branches ont été rassemblés pour réaliser, à la perfection, les très importants travaux de restauration du palais.
Ainsi, les bijoux d’architecture d’intérieur, tels que la Chambre d’Ambre ou les Salons d’Agate, ont pu recouvrer leur éclat d’origine. Les artisans ont mis à profit leur savoir-faire incomparable pour réaliser chaque Stylo de l’Année « Palais Catherine ».
Qui aurait pu répondre à ces exigences mieux que l’atelier d’ambre du Palais Catherine ? Au sein de cet atelier, des artisans d’art issus de différentes branches ont été rassemblés pour réaliser, à la perfection, les très importants travaux de restauration du palais.
Ainsi, les bijoux d’architecture d’intérieur, tels que la Chambre d’Ambre ou les Salons d’Agate, ont pu recouvrer leur éclat d’origine. Les artisans ont mis à profit leur savoir-faire incomparable pour réaliser chaque Stylo de l’Année « Palais Catherine ».
Une présentation de haute qualité
Chaque instrument d’écriture est numéroté individuellement et placé dans un étui en bois noir foncé et brillant. Un certificat signé personnellement par le directeur de l’atelier d’ambre, Boris Igdalov, atteste l’authenticité des pierres précieuses russes utilisées.
L’étui en bois dispose d’un double fond pour ranger six instruments d’écriture de plus et peut donc également servir de coffret de rangement.
L’étui en bois dispose d’un double fond pour ranger six instruments d’écriture de plus et peut donc également servir de coffret de rangement.
